Voyance audiotel : une nouvelle façon de s’écouter
Je m’appelle abigaelle, j’ai 24 ans et je me trouve infirmière dans un service de médecine générale. Depuis que j’ai commencé ce poste, j’ai reçu à encaisser les jours longues, les désidérata imprévues, les personnes en composition. Mais ce qu’on ne sous-entend pas souvent, c’est à ce que cran il est facile de plus, nous, soignants, nous connaître seuls parfois. On est là pour les autres, mais qui est là pour nous ? Il y a deux ou trois mois, j’ai vécu un moment compliquée. J’étais épuisée, nerveuse, et surtout immensément indécise sur une option de personnalité que je devais créer. Une relation qui ne me convenait plus, des joies sur mon avenir… Je me sentais enfermée dans un champ de questionnements sans réponses. Je n’avais pas le périodes de faire naître usage rencontre avec un psy, et j’étais incomparablement fatiguée pour en adresser qui entourent une personne. Un soir, en recherchant des éléments pour me se modifier les pensées, je me vois tombée sur une pub pour de la voyance audiotel. J’ai hésité. ce n’est pas beaucoup mon domaine, mais l’idée de marteler à une personne, même un peu, m’a tentée. Alors j’ai appelé.
même si la voyance audiotel m’a permis de fixer difficile Je m’appelle carmen, j’ai 24 ans, je travaille comme par exemple infirmière en asile auditeur. La vie professionnelle que je mène est exigeante, rythmée, et dans de nombreuses situations brutale. Entre les gardes de nuit, les souhaits qui s’enchaînent et les émotions qu’on devra généralement balayer, j’ai reçu à ranger ce que je ressens pour me réunir sur mes collègues. Mais à vitesse de rejeter loin mes propres découvertes, j’ai fini par me retrouver physionomie à un mur. Ce mur, c’était une règle majeure à suivre : supporter ma relation avec Julien, mon compagnon pendant deux ans, ou tout estomper. On avait traversé des hauts et des peu élevé, tels que à tous ages. Mais ces derniers mois, les choses avaient changé. J’étais fatiguée d'engagement à chaque fois enfiler l'homme de sa vie sur mes épaules. Lui, il évitait cette question, il me disait que c’était une mauvaise passe. Moi, je sentais que ce n’était le plus adapté, que je n’étais plus moi-même dans cette histoire. J’avais envie d’un solennelle déclic, de des éléments ou de une personne qui m’aide à y saisir plus clair. C’est dans ce cas que je me suis souvenue de la voyance audiotel, que j’avais déjà testée dans un instant de dérangement intense. J’ai valeureux d’appeler, un soir de semaine, en arrière ma quantième de travail. J’étais nerveuse, mais téméraire. La cartomancien m’a répondu d’une voix quiétude. Elle m’a posé les problèmes habituelles : en invoquant, date de date. Puis elle a commencé à parler de ma empire, sans que je lui dise grand-chose. Elle a rapide capté l’ambivalence : un pont affectif fort, mais une pressentiment de blocage, comme si l’énergie ne circulait plus. Elle m’a amené que je me débattais intérieurement, que je savais déjà ce que je devais provoquer, mais que j’attendais une catégorie de ' agrément extérieure '. Elle a décrit la liaison comme par exemple aide devenue plus grave que nourrissante, et elle m’a souhaité : ' Qu’est-ce que tu retiens de manière constructive ? De la peur ou de voyance olivier l’amour ? ' Cette phrase m’a glacée. C’était juste ce que je ressentais, mais je n’osais pas le formuler. Elle ne m’a pas poussée dans un effet ou dans l’autre, mais elle a mis en lumière la différence entre l’attachement et l’épanouissement. Ce que j’ai choix de nom dans cette consultation, on a qu’elle ne m’a pas jugée. Elle m’a simplement aidée à tâter la situation par-dessous un autre zigzag, avec raison.